vendredi, mai 19, 2006

Mon chopin chez les nudistes

TheSpoonerWayOfLife

Waiting for the second one "Smileys"... Comming soon...

Célèbre morceau d'un titre du merveilleux album qui a réveillé les foules, rendu les gens intelligents, bons et contents de vivre, qui a redonné des couleurs à notre monde tout gris. Cet album, c'est "On rendra pas l'argent" des Y. N. Comme le deuxième album est en cours de peaufinage et qu'il va faire exploser tout ce que la vie compte d'ennuyeux, je décide de teaser un peu vos oreilles... alors premier épisode, je vous copie/colle le communiqué de presse qui a servi de base à un marketing viral et abrasif intensif pendant plusieurs mois de 2004 sur de nombreux blogs et forums, sur certaines les choses sont même en core en ligne, sur d'autres on nous a enlevé au bout de quelques secondes, parait qu'il faut pas faire. Bref ici c'est chez wouam, alors hop je tease à donf.

Communiqué de "On rendra pas l'argent", The Y. N., 2004:

"Melomanes, et autres amateurs de pointes, c'est avec une émotion réelle que je vous annonce aujourd'hui ce qui restera l'évènement musical majeur de ce siècle et des suivants. L'album des Y. N. est fini. Il s'intitule "On Rendra Pas L'Argent", et le titre veut bien dire ce qu'il veut dire. Vous êtes prévenus. Quel genre ? Ethnicore progressif, ethylisme accoustique débridé, chanson paillarde post-moderne... les experts hésitent encore pour classer dans un genre précis ce qui est surtout une révolution complète de ce que l'on appelait abusivement jusqu'ici la « musique ». Sans aucun doute le plus grand disque jamais composé par des êtres humains, mais il est fort probable que les auteurs ne soient pas humains du tout.

Enregistré en 2 jours au mois de juin 2004, puis mixé dans les 2 mois suivant selon la methode d'enregistrement nerimienne ("boarf, on rattrapera ça au mixage"), "On Rendra Pas L'Argent" est à la musique ce que Y. N. fut à l'humanité: le point de départ et de convergence de tout ce qui fut, est, ou sera, dans le monde terrestre aussi bien que dans celui des idées, dans le sacré et le profane, dans ce qui vit et ce qui a vécu. Metissage improbable des plus grands courants musicaux judéo-chretiens (du pré-renaissance au post electropunk), arabes (Cheik Raymond) ou boudhistes (polyphonies tibetaines), On Rendra Pas L'Argent sonne comme un boeuf divin entre Bach, le Velvet Undeground, Erik Satie, Patrick Sebastien, les Beach Boys periode "Pet Sounds", Enrico Macias, les Beatles et Afrika Bambaata. L'harmonie des voix confine au sublime et n'a d'égale que l'infinie pureté melodique de ces comptines adultes autant contemporaines que transversales à tous les âges de l'Homme. La parole de Yosh, prophète interstellaire tout droit venu de Connarland, vous atteint aujourd'hui. Profitez-en."

Et je me présente, Spooner, Contre-Tambourin Afterbrüitiste, c'est ma spécialité dans l'ethnicore.

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