mercredi, septembre 21, 2016

Commentaire composé d'un abruti à Luc Ferry, qui comprendra sans doute

Luc Ferry vient de jeter une benne de pavés dans votre baignoire, c’est au-delà du scandaleux, c’est jouissif, c’est incompréhensible mais le plus important, c’est publié. Merci Le Figaro, qui trouve que c’est de bonne guerre de se foutre de la gueule aussi bien de ses lecteurs que de ses chroniqueurs en leur permettant une exposition médiatique maximum, avec ce genre de vomi remâché et revomi et regobé par Luc Ferry. Lui non plus n’est plus à une imposture près avec celle de philosophe, celle de ministre, celle de professeur et il serait presque permis de dire d’écrivain quand on publie son autobiographie intitulée « L’Anticonformiste : une autobiographie intellectuelle », haut les cœurs. Notons le « A » à anticonformiste, devenu nom propre lorsqu’il prétend qualifier Luc Ferry, notons le « intellectuelle » apposé à autobiographie pour les autres connards qui font seulement une autobiographie de connard écrite avec les pieds dans les chiottes. Je me permets de préciser que cette « autobiographie intellectuelle » se présente finalement sous la forme d’entretiens : il n’a donc rien écrit, quelqu’un est venu enregistrer ses éructations entre le brossage de dents, le café et le caca du matin.
Rappelons afin de dégager Luc Ferry de toute responsabilité déplacée que, pendant qu’il occupait paisiblement son fauteuil ministériel, l’attribution des Sports était séparée de celle de la Jeunesse. On peut donc avancer maintenant sans grande crainte de se tromper qu’il a dû expressément demander au Premier Ministre de l’époque de ne pas se voir affubler d’un tel domaine de compétence, lui l’élite ne pouvant décemment pas s’occuper de cette fonction et gérer des prolos, des palefreniers et – merde disons-le clairement – des abrutis, oui des abrutis, des gros cons et des grosses connes, des décérébrés, des butors, des putains d’abrutis qui n’ont pas fait de prépa, des finis à la pisse, des bercés près du mur, mais oui, décomplexons l’échec scolaire par la place trop grande donnée aux sports, aux sportifs, aux médias qui en font des sujets, aux journalistes tout aussi cons, aux spectateurs encore plus cons parce qu’au final ce sont les seuls à payer tout ce petit monde. Lâchons-nous, nous les grands, et lâchons-les, arrêtons une bonne fois pour toute de donner un brin de valeur méritocratique, républicaine et éducative au sport. Et achetez mes livres. Tas de cons.
Aujourd’hui, détendons-nous et essayons de commenter calmement ce qui devait rester sur le papier toilette de Valeurs Actuelles et qui a été publié dans Le Figaro sous le nom de Luc Ferry.
C’est parti.
Luc Ferry : « Roland-Garros, Wimbledon, Le Mans, Euro, Vélo, JO… Ouf, le calvaire touche à sa fin ! Fermées les dévastatrices « fans zones », finie l’omniprésence des supporteurs avinés, braillards au chauvinisme virulent, les interviews interminables de sportifs qui sont « contents d’avoir gagné mais qui espèrent faire mieux la prochaine fois » et qui nous bassinent avec cette fichue « pression » dont ils doivent, paraît-il, se libérer. »
The Spooner : Alors Roland-Garros, Wimbledon et le Vélo (j’imagine que c’est le Tour de France) sont là tous les ans, je veux bien comprendre que l’enchaînement est douloureux mais c’est faire du tort à tous les autres sports qui sont aussi présents mais dont Luc ne parle pas. En revanche, il met au même niveau Le Mans et l’Euro, je trouve cela plutôt cocasse et encore une fois déconnecté de toute réalité. Rappelons pour la petite histoire que le papa de Luc est un inventeur automobile (oui…) et donc Le Mans doit lui en toucher une qui ne fait pas bouger l’autre de beaucoup de monde. Lorsqu’il évoque les fan zones dévastatrices, je cherche à comprendre, je ne vois que celle du Champ de Mars qui a abîmé la pelouse pour les pique-niques en blanc de sa catégorie sociale. Bon les supporteUrs (« u » validé par l’Académie française) avinés, ok, en revanche, leurs passages dans les médias aux côtés de sportifs au discours aseptisé et répétitif, mon vieux Luc, retourne-toi discrètement vers tes employeurs de journalistes qui diffusent tout et qui ont toujours les mêmes questions mièvres à poser ou les mêmes angles parce qu’ils ont ce point commun avec toi : ils ne supportent pas de travailler sérieusement. Pareil pour la pression, ce n’est pas avec tes multiples salaires fictifs et ta mèche que tu la connais. Pour le « paraît-il », je m’attarde un peu : cela traduit tout de même un grand manquement de ta part, es-tu en train de sous-entendre que d’une, tu accordes une importance à ces bruits qui courent, à ces chuchotements de traître, à ces rumeurs d’un groupe de personne, toi qui réfléchis pourtant si bien par toi-même la société et ses maux ? Et de deux, tu n’aurais donc pas vérifié ce fait pour mettre un semblant de distance, pour t’épargner une éventuelle erreur ?
LF : « Pour ceux qui aiment écouter les nouvelles sans être assourdis par les hurlements de commentateurs sportifs qui croient indispensable de monter les décibels jusqu’à la rupture dès que leur idole approche du but, bref, pour qui pense à autre chose qu’à transpirer en « survêt » ou contempler dans son fauteuil ceux qui le font pour nous, le supplice est terminé. »
TS : Relisez très attentivement « Pour ceux qui aiment écouter les nouvelles sans être assourdis par les hurlements de commentateurs sportifs », soufflez, prenez votre temps et mettez-vous dans la situation de celui qui aime écouter les nouvelles (les informations, les journaux, etc.). Entre ici cher Luc Ferry, toi qui aimes écouter les nouvelles, toi qui aimes écouter tranquillement les bombes tomber en Syrie, les enfants se noyer, les pauvres se plaindre, les malades soupirer et Nicolas Sarkozy éructer. Oui cela doit être beau. Oui tel un final de symphonie, sens bien la fébrilité de ces populations monter doucement et exploser dans un son de chaos général, d’horreur absolue et de cris de souffrance. Ne pardonne pas à ceux qui préfèrent la frivolité du sport, ces émotions simples de connards avinés, ces tensions, cette vie commune autour d’un sport, d’un maillot, d’un but, d’un exploit. Oui ne pardonne pas aux autres, toi le politique qui as la responsabilité de l’absence de bonnes nouvelles aux informations, toi, incapable de produire le moindre effet positif dans la société à la suite de tes effets de manche, plains-les et blâme le sport d’être un exutoire mais sache que cet exutoire est la dernière barrière qui fait que vous les politiques, êtes encore vivants et non pendus haut et court. Sache-le que lorsque le sport aura atteint le même niveau de corruption, d’inefficacité et de viol intellectuel, sache que la plèbe sera sur votre dos.
LF : « Bien entendu, la folie du sport reprendra au printemps, mais l’hiver est en général plus calme, ce qui laisse espérer un peu de répit. On me dit que le sport est un modèle moral pour notre jeunesse, une véritable boussole en matière d’éthique. Ben voyons ! À ceux qui coupent dans ces comptines à l’eau de rose, je conseille le livre de Robert Redeker, L’Emprise sportive (chez François Bourin). »
TS : Oui l’hiver n’est pas propice à la Formule 1, au tennis, au golf et au polo qui préfèrent la chaleur des premiers rayons printaniers pour quitter les stations de sport d’hiver et les terrasses de Megève. Je m’attarde sur le « on me dit » et renvoie sur l’explication du « paraît-il ». D’où cela vient, on ne sait pas, qui le dit, quand, comment, le contexte, Luc s’en tape bien. L’important est de donner un peu d’élan à son bouclier Robert Redeker dont voici une bio non exhaustive à savourer. Une plume tellement infecte que Le Figaro a dû s’excuser publiquement. A n’en pas douter, une référence de choix pour Luc qui publie sa daube dans Le Figaro, j’imagine que le directeur de la rédaction est ravi.
LF : « On y lit par exemple ceci, qui tranche agréablement avec le bêlement universel qu’on nous inflige depuis des mois dans des médias tétanisés d’angoisse à l’idée de voir baisser l’audimat : « Désormais, des mercenaires immatures et cupides tapant dans un ballon sont élus au rang de divinités quand les véritables créateurs de civilisation – poètes, penseurs, peintres, sculpteurs, savants – sont rejetés dans l’ombre. »
TS : Je vois une chose : par l’intermédiaire de Redeker, Luc Ferry dit qu’on ne parle pas assez de Luc Ferry et ce, à cause des abrutis de sportifs. Solution possible : les abrutis de sportifs sont quand même, malgré leur crétinisme alpin, plus intéressants que Luc Ferry. Soit Luc Ferry est encore en dessous de ces connards, mais Luc Ferry ne le sait pas, car Luc Ferry est dupe de lui-même. Et sachez Luc Ferry que si les médias n’étaient pas tétanisés, vous ne seriez pas dans la vie publique sous quelque forme que ce soit. Essayez sans doute d’élever un peu le niveau de l’élite dont vous êtes, plutôt que de vous occuper de domaines d’expertise qui vous échappent, au nombre de deux selon cette citation : le sport et tout ce qui concerne les « véritables créateurs de civilisation ».
LF : « Voilà, c’est dit, et ça fait du bien. »
TS : Traduisons-le : « J’ai roté bien fort ».
LF : « Reste à comprendre la nature exacte de l’enthousiasme que suscitent les retransmissions d’événements sportifs. La Coupe du monde de football et l’Euro sont des moments de communion quasi religieux, au sens étymologique du terme : ils relient entre eux des centaines de millions de spectateurs de toutes nationalités, de toutes conditions sociales. Par-delà les frontières et la diversité des langues, c’est presque un sixième de l’humanité qui se retrouve à hurler de joie ou de dépit derrière des centaines de millions de postes de télévision à cause d’un coup franc ou d’un penalty manqué. »
TS : Non à cause d’émotions que seul le sport, et c’est sans doute regrettable mais regarde bien la poutre dans ton œil, peut donner à un niveau universel. Si un ministre de la Jeunesse savait faire partager Victor Hugo autrement qu’avec Josée Dayan, ce serait très bien aussi. Ce qu’il y a de génial dans cet extrait, c’est que le gars dit justement publiquement qu’un milliard de personnes sont des cons. Juste cela. Le gars n’est pourtant pas misanthrope, il est professeur, philosophe et ancien ministre de quoi ? de la jeunesse. Je trouve cela merveilleux. Et le gars est payé en partie sur les deniers publics, par la population, et le type tranquillement est juste en train d’insulter les gens qui le paient.
LF : « Mais il y a plus. Le sport ressuscite une vision du monde qu’on croyait définitivement morte et enterrée, une part de l’héritage aristocratique qu’on pensait disparue de l’univers démocratique de l’égalité. Il suffit de fréquenter un club de sport, de voir les parents encourager frénétiquement leurs enfants autour d’un court de tennis, pour mesurer combien la dimension aristocratique des jeux du stade reste encore présente. »
TS : Quel est le putain de rapport entre l’héritage aristocratique et les parents qui sont obligés d’assister à un cours de tennis niveau balle orange au lieu de lire un bouquin tranquilles dans leur canapé. Quel est le putain de rapport entre une activité sportive d’un gamin de CE2 et la « dimension aristocratique des jeux du stade » ? Quel est le putain de rapport entre un cours de sport avec des enfants et la contradiction avec l’univers démocratique d’égalité ? Rappelons un peu d’histoire, les Jeux du stade sont plutôt grecs et renvoient aux premiers jeux olympiques dans justement cette belle république athénienne. Lorsqu’on parle d’applaudissements frénétiques, je pense que Luc Ferry veut nous rappeler les hystéries de stade qui conduisent à la mort, dans ce cas, nous ne parlons pas des jeux du stade mais des jeux du cirque, plutôt un monopole romain du coup, dont l’horreur est bien connue grâce à la littérature de recherche que peut représenter Astérix, assez peu accessible au commun des abrutis qui aiment le sport.
LF : « Du reste, qu’est-ce qu’une compétition, sinon l’organisation d’un espace d’inégalité au sein de l’univers égalitaire ? L’un des ressorts les plus fondamentaux du plaisir, voire de l’enthousiasme qui s’empare des spectateurs à la vue des grands champions est directement lié à ce retour d’un univers parfaitement hiérarchique au sein de la sacro-sainte égalité démocratique. Les règles du jeu sont les mêmes pour tous, le matériel aussi, et rien ne choque davantage que le dopage et « la triche » qui viennent rompre ce principe d’identité. Mais les talents, eux, sont tout sauf égaux et, dans le sport comme nulle part ailleurs, la chose est objectivement mesurable. »
TS : On avance dans la malhonnêteté intellectuelle, doucement mais bien. Bon admettons, le type est allé fumer une clope ou a répondu à une de ses multiples sollicitations tellement il est brillant et il passe des parents d’enfants qui n’ont rien demandé à personne et surtout pas à être autour d’un court de tennis un samedi après-midi mais passons. Est-ce qu’un univers hiérarchique est anti-démocratique ? Anti-égalitaire ? Ah. M. Ferry serait donc un adepte de la suppression de la hiérarchie, des organigrammes, des distinctions ? Pourquoi se mettre en avant et courir derrière autant de titres, de glorioles médiatiques ? Pourquoi ne pas refuser vos nominations arguant que c’est anti-démocratique, contre le principe d’égalité ? Qu’est-ce que le sport n’a pas dans sa légitimité que M. Ferry trouve bien dans son monde à lui ? Quelle est la différence exacte pour qu’on accepte des patrons et des chefs et des ministres et des professeurs à des pseudo-sachants ALORS MÊME que le sport base sa reconnaissance sur des performances mesurables, c’est lui-même qui le dit. Objectivement. Et comment dire sérieusement que les règles du jeu sont les mêmes pour tous alors qu’on reconnaît dans la phrase suivante le phénomène de « triche ». Si certains trichent, c’est bien qu’ils considèrent que les règles des autres ne les concernent pas eux. Et que dire donc des nominations dans le système démocratique, quel critère objectif fait de M. Ferry un ministre ? L’avis d’un autre politique consanguin ? D’un ami ? Qu’est-ce qui fait de M. Ferry un écrivain, objectivement ? A part une connaissance d’éditeur. Demandez à la démocratie ce qu’elle pense de vous en tant que ministre ou écrivain, même en ôtant le sixième des débiles, vous verrez que personne ne veut de vous M. Ferry.
LF : « Il n’est pas de spectacle sportif réussi sans qu’en arrière-fond ne se mélangent en permanence ces deux éléments, une inégalité naturelle colossale d’un côté, une égalité formelle scrupuleuse de l’autre. L’admiration pour les sportifs est alors directement issue du fait que des transcendances liées à des dons largement innés et naturels s’élèvent sur un terreau démocratique, des transcendances, donc, qui n’ont plus rien de divin ni de cosmologique, enracinées qu’elles sont au plus profond de l’humain, et souvent, il faut bien le dire, de l’humain le plus ordinaire, le plus « normal » qui soit.
TS : « Une inégalité naturelle colossale ». Bon alors là, on a glissé un peu vite vers le racisme sans trop savoir comment on en est arrivé là. Il me manque sans doute une marche. C’est magnifique. Dans une volonté sans doute universaliste mais profondément maladroite et malhonnête, surtout en prenant le sport à la télé comme angle d’attaque de haut niveau, Luc nous emmène tranquillement vers une démonstration que le sport est l’illustration parfaite de l’inégalité entre les gens, mettant de côté tout travail, mettant donc de côté toute méritocratie, mettant de côté tout ce à quoi sert un Etat, accompagner sa jeunesse. Il y a les talentueux et les autres. Les autres, laissez tomber et contentez-vous d’aller à l’usine, en vous munissant préalablement de votre diplôme, enfin diplôme, M. Ferry se fout un peu de vous, de tourneur-fraiseur. Admirez également la petite pique à la normalité, vous savez la vanne qu’on fait à Hollande depuis des années, mais ne l’oublions pas, nous sommes dans Le Figaro et Luc Ferry a pris dans ce clin d’œil toute la dimension de la connivence avec son lectorat pour se rendre sympathique et accessible. Enfin il faut retenir ce qui donne le caractère démocratique au sport, c’est le terrain, sinon rien ne l’est et surtout pas vous.
LF : « On ne saurait y rester indifférent, et pour avoir participé moi-même à des compétitions sportives, je ne puis m’empêcher d’admirer comme tout le monde les champions qui sortent du lot. Ce qui n’interdit pas de garder la mesure, de remettre les choses à leur place. »
TS : Alors, elle tardait à venir celle-là. J’étais à me dire depuis le début : « Mais pour qui se prend-il avec ses grands airs et ses vérités sur un monde qu’il ne connaît pas ??!! » c’était bien mal connaître Luc qui a tardé mais qui l’a fait : sortir la justification « je peux critiquer le sport, parce que vous voyez, moi-même j’en ai fait il y a une cinquantaine d’années ». Tout en justifiant son petit niveau par la présence de champions aux talents innés donc c’est de la triche et ce n’est pas de ma faute si je n’avais pas fait l’ombre d’un commencement de résultat, normal en même temps, c’était anti-démocratique, moi je ne mange pas de ce pain-là.
LF : « Le sport n’est qu’un jeu pour grands enfants, les sportifs ont du talent, certes, mais point de génie, et ils n’apportent rien au progrès des civilisations. Zidane n’est pas Bach, ni Ribéry Einstein. »
TS : Ecrire cela après la mort d’Ali, c’est à désespérer des combats, des espoirs et des victoires que certains portent pendant des dizaines d’années. C’est oublier Owens, Smith ou même Nurmi. C’est chier sur les valeurs de l’olympisme qui ont eu cette prétention, avec de nombreux défauts, personne n’est parfait, de rendre accessible certaines valeurs, parfois même politiques, car on parle davantage de trêve olympique que de paix politique. Mais cela M. Ferry n’en a cure, lui qui aimerait tant être un nouveau Descartes à défaut d’être un Lamartine (poète et politique de premier rang) ou quelqu’un qui apporte la moindre chose à la société. Quant à comparer Ribéry à Einstein, c’est un tel niveau de débilité que la phrase est autant insultante pour Einstein que pour Ribéry. J’attends toujours de voir Luc apporter autant que Zinédine.
LF : « Alors cessons de décérébrer nos enfants en leur faisant croire le contraire par une inversion des valeurs au plus haut point nuisible à la formation de leur esprit. »
TS : La conclusion, l’épilogue définitif de cette diarrhée immonde. Faut-il vraiment la critiquer ? Non. Elle se suffit à elle-même pour illustrer la bêtise ambiante de cette élite auto revendiquée, cette aristocratie qui vole au quotidien autant de possibilités à d’autres d’exprimer des idées neuves voire belles.


Rendons donc hommage à Luc Ferry de nous éclairer sur l’ineptie des temps actuels et la vacuité de nos existences. A nos héros, les abrutis reconnaissants.


@TheSpoonerWay

A retrouver sur horsjeu.net : http://horsjeu.net/hors-sujet/commentaire-compose-dun-abruti-a-luc-ferry-comprendra-doute/